Nébuleuse

Le site municipal de Saint-Apollinaire-de-Rias comprend, comme "domaine" le site de l'Association "Les Rias", laquelle gère la Bibliothèque Municipale et son "espace Public Numérique" (Point Accès Public Internet) -deux autres domaines - et assume, sous responsabilité municipale, la gestion globale du site (délégation par convention).

Divers sites/compagnons de route l'accompagnent : le Sivu des Inforoutes de l'Ardèche, nous hébergeant et portant, les blogs créés, les sites services utilisés, le wiki, et, encore à apprivoiser, le mégasite de Villes-Internet...

Tout cela constitue une nébuleuse difficile à cerner, mais dont la modélisation est d'autant plus indispensable que site d'une toute petite commune, nous n'avons pas la base solide d'assises structurées en services ni le cadre sécurisant d'objectifs quantifiés.

Entre étroitesse des bases et vertigineuse liberté intersidérale... Ou un blog entre béquille et fusée.

Et pour éclairage ou repères, le Galilée du "Et pourtant, elle tourne", Giordano Bruno et la preuve par Mendéléiev...

Pour la bonne compréhension de ce blog dont les messages s'enchainent à partir d'un tableau initial, nous conseillons de le lire en suivant l'ordre chronologique des messages à partir du sommaire.


dimanche 2 juin 2013

-3.3. La fin d’un nécessaire temps de recul



 ce qu’en pédagogie on appelle une « pause méthodologique », ou plus simplement :  

rien ne sert de foncer sans savoir d'où on vient, où on en est et où on va... 

Comme on prépare un voyage en se documentant, étudiant les itinéraires... 



Et si de nouvelles données sont à appréhender, prendre le temps de le faire (ce qui évitera de perdre du temps après...) 


Et là c’est Villes-Internet et Camboulive qui nous ont permis d’avancer. 

On sait bien qu’on ne se pose que les problèmes qu’on peut résoudre. Faut-il encore trouver les outils nécessaires pour bien les poser... 

Un terrain qui semble parti pour se re-labourer, autrement, on est dans la multi-dimensionnalité, 

                                         avec Didier Tallagrand, 

                                                                                  pour peu qu’on joue le jeu...



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