Nébuleuse

Le site municipal de Saint-Apollinaire-de-Rias comprend, comme "domaine" le site de l'Association "Les Rias", laquelle gère la Bibliothèque Municipale et son "espace Public Numérique" (Point Accès Public Internet) -deux autres domaines - et assume, sous responsabilité municipale, la gestion globale du site (délégation par convention).

Divers sites/compagnons de route l'accompagnent : le Sivu des Inforoutes de l'Ardèche, nous hébergeant et portant, les blogs créés, les sites services utilisés, le wiki, et, encore à apprivoiser, le mégasite de Villes-Internet...

Tout cela constitue une nébuleuse difficile à cerner, mais dont la modélisation est d'autant plus indispensable que site d'une toute petite commune, nous n'avons pas la base solide d'assises structurées en services ni le cadre sécurisant d'objectifs quantifiés.

Entre étroitesse des bases et vertigineuse liberté intersidérale... Ou un blog entre béquille et fusée.

Et pour éclairage ou repères, le Galilée du "Et pourtant, elle tourne", Giordano Bruno et la preuve par Mendéléiev...

Pour la bonne compréhension de ce blog dont les messages s'enchainent à partir d'un tableau initial, nous conseillons de le lire en suivant l'ordre chronologique des messages à partir du sommaire.


lundi 25 novembre 2013

Rôtie de châtaignes ? OUI... Mais... Et en plus...

Une de ces manifestations culturo/festives et festivo/culturelles qui prennent leur temps,

créent du temps et de l'inédit...                                    Certes...


Un public- et-acteur  divers...
De ce "certif" auquel s'opposait le travail de ferme  à "bac+ nombres à 1 ou 2 chiffres...
De juste  4 mois,  à presque 4 fois 20 ans...
Une foultitude de  résistances - de formes et contenus très divers......

Des "bénévoles" en création associative - explorations artistiques, interventions pédagogiques, journalistiques, administatives, formatives... en Rias  juste, et en Bibliothèque municipale, et EPN et... Et en montage de meubles, réalisation d'herbiers ou de signalétiques, jeux de société - canoniques ou artistiques - fabrication de masques, de crêpes et gâteaux et... animation et conservation du patrimoine  de rencontres patois ou autres,  de stands en concours où se mêlent festif et culturel...





 --->  Création de connaissances. 

Bénévoles souvent auteurs. Pour dire le réalisé, questionner le réel, faire avancer les connaissances en communiquant, mémorisant, créant en réseaux divers..

Et ces utilisations/créations de livres "numériques" se distinguant du simplement numérisé par le recours à l'hypertextualté, à la construction parfois d'un composite associant textes et images fixes mais aussi mobiles, sons et sous-systèmes divers...

Complexité de chaque publication et complexité de ce Bien Commun auquel ont participé à ce jour par l'écriture, le son ou l'image bien plus de 400 personnes différentes...



Du réel  palpable avec les tirages papier des publications  (prix de revient  : 1€ la feuille soit nombre de pages/4)

Du virtuel - ce bien commun réel, accessible  de n'importe où,  d'où qu'on aille sur cette planète, par  le web.

Un mini-réseau à nous, collectif, dense et présent (dont chaque publication peut être téléchargée gracieusement par tous  et n'importe qui en PDF...) Un virtuel très réel, donc, présent et partagé. Charnière sur ce plateau -et ces annexes qu'en constituent les lieux d'habitation principale de nos habitants saisonniers  ou amis à la présence occasionnelle, les divers lieux de vie et voyages partagés - là où s'opère, plus profondément et largement sans doute que sur le seul site (en prenant en compte les consultations papier), la jonction ou le passage - à double sens - entre territoire(s) et réseaux


Fleurs-escargots de Geneviève en quête d'île aux faisans... 

Un "lieu" (au sens mathématique  et non géographique du terme)  
qui fonctionne comme espace  "transitionnel" ( au sens de Mélanie Klein, comme le "doudou" des petits...) et "transactionnel" (support inducteur donc de négociations diverses)...


Un fort lieu d'intrication du Réel et du Virtuel (3),  base de données ou albums partagés, un logiciel  (1) d'accès gratuit pour les lecteurs et simple mais surtout un espace charnière habité qui fonctionne par la diversité des échanges dont il est le théâtre et l'outil...


Pourquoi ça marche ? Parce que ça ressemble assez,  à la fois,  au livre, au carnet de notes ou croquis, à l'album photo, à la pochette documentée d'un CD (2), à un mode d'emploi lisible, à la lettre ouverte... etc...?  Assez pour que, par delà les différences, on puisse y transférer des usages et pratiques et habitudes... Transfert  dans lequel le numérique s'insinue  doucettement, ludiquement et utilement,  ouvrant d'autres ressources...

Transferts qui sont "mobilités
- une notion qu'on ne saurait réserver au téléphone portable, outil certes de mobilité, mais qui, en soi, peut donner lieu à utilisations des plus rigides et dogmatiques...
Là encore ne pas confondre outil et usages sociaux... 


Cette soirée :


1er temps   après la participation ou non à la rôtie  de châtaignes se faisant,  suivant qu'on aime l'odeur du grillé et de cette étrange convivialité à la lueur des flammes dans un froid glacial, ou qu'on lui préfère la chaleur et les ressources de la grande salle connectée où la consultation des tirés papier des livres numériques va bon train... ainsi que les commentaires...


2ème temps  un public épais s'est rassemblé devant le mur-écran en cette  salle "de partout" connectée.
A pas de loups, on oublie tout pour s'immerger dans l'Observatoire de Villes-Internet, et plus précisément en la  rubrique "Démocratie" de celui-ci.

On connaissait bien l'espace de Saint-Apo, mais peu l'Observatoire... 

Et là on se laisse guider pas un flux de bon sens évident au fil des pages jusqu'à  la découverne du livre de Paulette,  où se  re-découvre, comme un conte, l'histoire du "taxi"...





Un débat d'où ressort la fierté d'avoir été collectivement et socialement d'"avant-garde".
Et Paulette commente...
                                                  Et Paulette commente...
                                                                                              Et Paulette commente, succintement
On reprend ensuite ce Calaméo en sens inverse pour retrouver un lien sur le premier livre édité de Paulette, imprimé et broché - numérisé cette année,
                                                                        "Souvenirs d'enfance et de village"...
Un public très impliqué, ému et admiratif. Un passé poignant ou truculent, divers et riche, et qui parle...

Ensuite seulement,

                la projection des cartes de 
                                 Didier Tallagrand, belles,   
                                                   mystérieuses et polysémiques,  
comme si elles renvoyaient au fond des temps... Elles se voient avec intérêt et plaisir, un certain trouble aussi, caché par les banalisantes - et rassurantes - questions d'identification  des photographié(e)s...

L'impression d'un temps profond, d'un moment rare, d'une expérience unique. Entrer dans la conception et la gestation d'une oeuvre d'art, dans le creuset de la connaissance et de l'appréhension prospective...
Ce que pas mal ici n'ont jamais vécu 
                            - les occasions sont rares - 
                                     du moins jamais vécu avec cette densité..

Ce qui fait appréhender  à tous   la place de l'art dans l'hominisation, dans la spécification  humaine aux plus lointaines époques des cavernes, son importance  formatrice  et,  puisqu'il s'en cause tant, son  
                                                             immense "rentabilité" à long terme 





- rentabilité en formation, développement de la pensée, créativité - tout  ce qui définit l'humanité et s'avère clé de toute avancée en quelque domaine que ce soit...

L'absurdité de ces débats où certains, confondant "spectacle" et "art" (=moyen de connaissance au même titre que les sciences - bien loin du "divertissement"),  attendent une rentabilité immédiate de la "culture" ! Attend-on une rentabilité immédiate de la recherche fondamentale en sciences  ?  N'y a-t-il à ce niveau, comme en science, prise de risques ? A-t-on jamais vu qu'une vie se construise si vite et en isolat .?

Tallagrand creuse les temps très profondément, en deçà des lointaines mythologies,  comme en quête de ce qui marque l'émergence de l'humanité en tant que telle... Un processus trouble, ambigü et toujours en cours nous crie  son  "1bis, île aux faisans"... comme clapotis familier en  Baie d'Ha-Long...




Un moment très riche pour un public qui se cultive et mesure de plus en plus l'exceptionnalité de la situation... sans omettre bien sûr l'attente de bénéfices scolaires et universitaires à terme et tout simplement humains...


 3ème temps l'intrusion, châtaignes passées, du match de rugby, France/Afrique du sud.  Quand certaines ne sont pas venues pour ne pas perdre 1mn de son suivi.
Où il s'avère très vite que le système ordinateur +vidéoprojecteur est bon pour suivre les scores pour peu qu'ils soient assez rapides pour que l'ordinateur ne se mette en veille. On ne peut quand même aller toutes les quatre minutes titiller la souris en abandonnant son jeu de cartes !

Solution autre,  cautionnée par l'élu municipal responsable : remplacer dans le grand écran de l'EPN la clé  avec  la vidéo "Ardèche" de Camboulive par un Regarderlematch sur la télé.  Ce qui marche...




Comme si l'étrange jeu de cartes de Tallagrand, avec ses ambiguités assumées, avait doppé la créativité de tous.  Ce qu'on sait et que savent certains chefs d'entreprises.

D'ailleurs ces belotes, avec autre cartes, foisonnantes d'heuristiques inédites en complices partenariats... 

Et pour prouver, s'il en était encore besoin, cette poussée de créativité, l'explosion-cerise d'une autre proposition...



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 Autres cerises  à mettre sur le gâteau ou ailleurs...

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La cerise du jour ? Un projet de nuit baraquéenne artistico-sportive et même en sus spectaculaire (pour une fois)  de Coupe du monde un peu spéciale s'accaparant  nos ressources numériques pour projections   géantes   intérieure  et/ou  extérieure -"  Ardèche consentante.

 ????????????????????????????????????????????



Mais comment en est-on arrivé là ?  

1. Prise de conscience de son rôle dans les collectifs divers 


2. Avidité culturelle croissant comme besoin d'oxygène, assumée dans sa diversité



3. Sérendipité sur fond de réalité du virtuel et activations de potentialités du réel.. (exemple clé du taxi de Paulette !  Ou des transgressions formelles subtiles des  écritures  de Geneviève...)

4. Et où va-t-on ?  Où va-t-on ?  Qui sap ? 






(à suivre bien sûr et mieux,  en y participant)

A
Co-   

construire...

Et voir l'initiative sur le site de Villes-Internet (espace St-Apo)


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1. Calaméo
2. le son ou la vidéo y étant accessibles par lien ou incrustation...
3. le virtuel étant réel et le réel mobilisant du virtuel pour toute prise de décision, anticipation, ne serait-ce que pour marcher -  même ailleurs que dans les couloirs, étages et bâtiments d'un hôpital... Ne serait-ce parce que le virtuel du garrot était inacceptable, inconcevable, inhumain, barbare, anachronique, vicieux...  que Joan Miro (cf   PDF   s'est permis - exceptionnalité absolue dans son oeuvre,  l'aléatoire des coulures, comme lentes coulures de sang sur la peau,  pour les toiles peintes comme cris contre l'exécution de  Puig Antich et ses deux compagnons, derniers garottés du franquisme?
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 






                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      

jeudi 14 novembre 2013

Trois initiatives d'après Fête de la science en cette mi-novembre (susceptible d'évolution. L'intérêt de l'écriture numérique!)

La 1ère - MOBILITES. s'appuie sur le  travail de la Fête de la science 2013 et notamment sur la synthèse - sur le terrain- qu'en a constitué l'essai des portables in situ, à tous les lieux-clés du Parcours d'art, pour l'accès à des contenus d'un Réel enrichi qu'il va falloir élaguer. Un autre regard du groupe de travail - trois adultes et deux anfants - qui conduira lors de la rédaction à conforter le choix du mot qui caractérise le mieux les apports de l'année scolaire 2012-2013 comme  année des "Mobilités".

Les regards

- lyrique de Mathys avec des photos qui disent la force de ces paysages denses d'histoire, de résistances, d'innovation  et de châtaignes,




pragmatique d'Elicia (6ème) qui a bien compris les objectifs de la sortie - vérification de l'accès aux enrichissements du réel par téléphone mobile (ou donc tablette ou petit ordi portable + clé...)




et en même temps,  interrogations sur une station d'épuration où seuls travaillent ces roseaux qui semblent vivre au gré du vent. Quelle(s) valorisation (s) de ce travail ?


-  Une synthèse ensuite de ces apports, d'années de travail,  des réflexions de tous et questions ou remarques de  Sim et Jean-Marie...  MOBILITES. C'est évident mais ne saurait s'enfermer dans ce petit téléphone aussi performant, universel, indispensable, plurifonctionnel et plus... soit-il...




Là encore ce sont les usages et pratiques qui intéressent... Peut-être un jour ce petit appareil deviendra-t-il broche à commander par la voix pour entendre ou voir, projeter, ou archiver, rechercher...

D'où de rapides évocations de mobilités possibles dont le plus riche exemple serait  le  taxi de Paulette sinon l'adaptation des horaires d'ouverture de l'EPN au décalage horaire cet été pour besoins de liaison professionnelle avec le Vietnam...





La 2ème  initiative ? 
"Camisardes, maquisardes ? Clandestinités citoyennes !"


Cache des Juifs en 40, cache plus ancienne des bibles et des familles en routes de dragonnades, seul vote NON au référendum-plébiscite de Louis Naopélon Bonaparte en 1851. Primat et spécificités des Résistances civiles  qu'analyse  Jean Nicolas dans cette publication qui, grâce à Tallagrand va fleurir au printemps 2014. 

Voyages de  noces, même des plus pauvres, à la Tour de Constance où Marie Durand est restée enfermée pendant des décennies, refusant d'abjurer... Son "Résister" affiché en mairie, avec les pancartes des arobases Villes-Internet. Comme court-circuit posé... 

Confusion "camisard"/"maquisard"? Non pas un anachronisme ou une erreur - il a fallu se rendre à l'évidence -  mais plutôt la volonté d'un refus affiché, l'affirmation d'une identité - des luttes pour la liberté de conscience à la résistance  à l'occuppant  et au nazisme.   Et puis il y a eu les trois Médailles des Justes dans la commune  (Aux Baraques, à Jurusson et à Echiol - André  Péatier, Lydie Chapus, Léa Rochedieu...) - Familles Schlenker et Caen.  "Ici on ne dénonce pas", autre affirmation identitaire ancrée dans l'histoire de ce plateau depuis des siècles. On chante Mandrin (roué à Valence), la légende de Conti perdure et certains vont jusqu'à Antraygues pour fleurir la tombe de Jean Ferrat ou y laisser des textes... Si les mises en  mots diffèrent, le partage de ces valeurs traverse la société,  étayé par l'action de familles de notables protestants (cf la publication d'Alain Delarbre sur 1851 fondée sur l'analyse d'affiches officielles retrouvées dans un grenier parce qu'un ancêtre, maire de Silhac, avait refusé de les placarder....)

Un travail riche et multiforme parce qu'il part des apports des gens, nécessairement inédits donc, et sans doute aussi parce qu'il est porté par des valeurs fortes et partagées, profondément  enracinées dans l'histoire...Parce que, aussi, il donne lieu à publication, donc à structuration puis échanges, débats...



Publications imprimées mais aussi numériques, simples et multifonction,
entre espace transitionnel  où on prend appui sur le publié et
espace transactionnel où on échange, se répond, évolue...


Le développement des TIC ne nécessiterait-il, prioritairement, au niveau de cette planète, une brève pause ou aparté pour réflexion sur les enjeux et objectifs de ce développement même (1) et sur les moyens d'en faire  des outils de développement durable  pour tous, au service de tous....


Un projet émergent, dans la continuité du travail des Rias mais enrichi par celui qu'a effectué l'équipe d'Angle-Art contemporain  pour le Musée de la Résistance de Fontaine-de-Vaucluse, "Que nuages!",  et aussi par la découverte du travail de Jacques Walter et Béatrice Fleury au CREM de l'Université de Lorraine, découverte effectuée grâce à Pierre Morelli, également universitaire à Metz et qui en nous proposant la venue et le travail d'une doctorante, Delphine Forestier sur ces questions de résistances, clandestinité et identité dans un champ de travail où se croisent arts et sciences, répond à un besoin et à une demande que nous avions émise en vain depuis des années...

D'autres contacts seront pris, notamment avec la Haute-Savoie où il semble qu'un travail très riche s'effectue au sein de l'Education Nationale... ou  avec l'Education Nationale...(A suivre...)





La 3ème ? 

"Par delà l'évaluation..."
3 ème brin d'une tresse, donnant forme et  sens à celle-ci.


"Science sans conscience n'est que ruine de l'âme" disait Montaigne..


"mobilité" est à lire comme ouverture, capacité de remise en cause permettant d'innover, de progresser, de s'adapter,  d'anticiper (2)

Oû les "clandestinités", commes celles de La Résistance et de formes de résistances diverses et concomitantes, sont symboles d'humanité préservée, de niches d'autonomie - humanité et autonomie affirmées  envers et contre tout,  notamment dans des situations extrêmes (3)...

Où se  conjuguent  visées scientifiques et artistiques.

Et où s'impose  le besoin  d'analyser les usages des TIC en fonction de ces visées, des situations et activités... La possibilité sinon d'une recherche, du moins d'une veille et d'un suivi du travail utilisant le numérique  et des niches d'utilisation de celui-ci..

Or il s'avère que les colloques ou séminaires accompagnant les remises de labels Villes Internet qui semblent se développer, sont formateurs, pourvoyeurs de références théoriques et de contacts, notamment universitaires...

Leur contenu est toujours accessible en ligne, à disposition de tous... Et les contacts, pour peu que les équipes soient mobiles,  peuvent déboucher sur des partenariats  se développant peu à peu comme cela a été le cas  ici,  avec l'Université de Lorraine...



Que dit la  cartographie de ce blog  du 18/11/13?
USA, France, Russie, Vietnam, Allemagne, Royaume-Uni, Chine, Inde, Ukraine...
 Montée de Chrome et Linux...


La question : par dela l'évaluation formatrice mise place, l'association Villes-Internet peut-elle faire connaître l'existence de travaux intéressants pour les collectivités et être ainsi médiatrice  de  rencontres entre "villes" et chercheurs ou créateurs,  puis plate-forme de diffusion  des résultats. Outre les restitutions apportées, riches d'apports théoriques et de références artistiques, ce peut être aussi l'occasion d'indispensables confrontations de résultats et points de vue, mutuellement avantageuses.(4)

Cela pourrait-il passer aussi  par l'observatoire et/ou des critères ou groupes de critères introduisant un autre filtrage pour la constitution des réseaux ?

Une question ouverte...

Une vertu pédagogique escomptée : le développement de  partenariats entre les collectivités, institutions, associations... Celui  des échanges, des recherches  et du primat accordé  aux pratiques ...


Si vous avez d'autres idées ne pas hésiter à utiliser les commentaires, vous inscrire aux blogs...



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1. qui auront nécessairement une incidence sur les choix techniques...
2. cf déjà comment dans le taylorisme même ce sont les  transgressions des ouvriers qui permettaient à la chaîne de fonctionner...
3. cf comment Germaine Tillion a montré que les activités de création artistiques ou culturelles en camp étaient moyens d'affirmer son humanité et sa dignité dans un contexte où on cherchait à broyer les gens... Cf  aussi Semprun, sur la même thématique - l'écriture - dans les camps ou après - pour mettre l'horreur à distance et pouvoir vivre avec... Celan/Backmann et la polémique Celan/Adorno... La question du  rapport des poètes allemands à une langue qui fut celle des bourreaux...
4. Un exemple ?  Clandestinités, clandestinités et TIC, éthique et démocratie, approches de collectivités différentes, avec des chercheurs différents, des populations et situations différentes, des circontances autres, et un  débat public d'autant plus indispensable que la question est complexe  et pose celle des valeurs retenues, de la définition ou construction d'un humanisme.... Quand, par exemple,  un cahier que vient de nous envoyer "Mémoire d'Ardèche et temps présent", fait découvrir  l'accueil réservé  en 1940 aux réfugiés alsaciens fuyant le nazisme ...





vendredi 8 novembre 2013

Etrange cartographie des visites de ce site...

Quand semble-t-il Acquaviva n'y est - cette fois- pour rien...


Etats-Unis

France

Chine

Indonésie

Roumanie


Qui donc aurait une clé pour qu'on comprenne cette étrange répartition des visites d'un blog  faisant  partie de la nébuleuse des outils de St-Apo ?







Par ailleurs, la part de nos propres visites a encore diminué, très faible.  Alors ?


Qui nous donne une clé ?

Vous pouvez même itliser les commentaires, même des USA, même dans votre langue, quelle qu'elle soit...



Au plaisir...