Nébuleuse

Le site municipal de Saint-Apollinaire-de-Rias comprend, comme "domaine" le site de l'Association "Les Rias", laquelle gère la Bibliothèque Municipale et son "espace Public Numérique" (Point Accès Public Internet) -deux autres domaines - et assume, sous responsabilité municipale, la gestion globale du site (délégation par convention).

Divers sites/compagnons de route l'accompagnent : le Sivu des Inforoutes de l'Ardèche, nous hébergeant et portant, les blogs créés, les sites services utilisés, le wiki, et, encore à apprivoiser, le mégasite de Villes-Internet...

Tout cela constitue une nébuleuse difficile à cerner, mais dont la modélisation est d'autant plus indispensable que site d'une toute petite commune, nous n'avons pas la base solide d'assises structurées en services ni le cadre sécurisant d'objectifs quantifiés.

Entre étroitesse des bases et vertigineuse liberté intersidérale... Ou un blog entre béquille et fusée.

Et pour éclairage ou repères, le Galilée du "Et pourtant, elle tourne", Giordano Bruno et la preuve par Mendéléiev...

Pour la bonne compréhension de ce blog dont les messages s'enchainent à partir d'un tableau initial, nous conseillons de le lire en suivant l'ordre chronologique des messages à partir du sommaire.


lundi 11 mars 2013

Sédimentation flexible des identités du plateau

- Quand l’œuvre de Sébastien Camboulive, artiste contemporain utilisant la photographie,  et le travail de la photo comme moyen d’investigation du réel  est ce qui nous fait comprendre une problématique récemment découverte et appréhender des concepts nouveaux et inédits dans leurs  contenu et utilisations.  

L’art d’un artiste qu’on a suivi  en résidence aux Rias pendant plus de deux,  passeur scientifique ?  Force est de se rendre à l’évidence.  Le travail de Spirales, celui de l’Ardèche, des Papillons verts, de la Ronde –une résidence à Lodève... 

Complémentaire et proche de celui de Pierre Morelli sur l’identité et passeur de concepts travaillés par Chronos et synthétisés par Emmanuel Eveno.  

(A réinterroger à ce sujet, l’exposition Jaume Plensa à Nice, avec ses sculptures colorées haut au-dessus des avenues.  Dont nous nous sommes permis de faire un détournement  pédagogique pour les projections  du travail théâtral sur le numérique. Juste  pour montrer que ces sculptures de Jaume Plensa, pouvaient au-dessus du brouillard montagnard enrichir nos lieux et les insérer dans un réseau artistique qui  leur  confère sens et identités inédits.





















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