- Quand l’œuvre de Sébastien Camboulive, artiste contemporain utilisant la photographie, et le travail de la photo comme moyen d’investigation du réel est ce qui nous fait comprendre une problématique récemment découverte et appréhender des concepts nouveaux et inédits dans leurs contenu et utilisations.
L’art d’un artiste qu’on a suivi en résidence aux Rias pendant plus de deux, passeur scientifique ? Force est de se rendre à l’évidence. Le travail de Spirales, celui de l’Ardèche, des Papillons verts, de la Ronde –une résidence à Lodève...
Complémentaire et proche de celui de Pierre Morelli sur l’identité et passeur de concepts travaillés par Chronos et synthétisés par Emmanuel Eveno.
(A réinterroger à ce sujet, l’exposition Jaume Plensa à Nice, avec ses sculptures colorées haut au-dessus des avenues. Dont nous nous sommes permis de faire un détournement pédagogique pour les projections du travail théâtral sur le numérique. Juste pour montrer que ces sculptures de Jaume Plensa, pouvaient au-dessus du brouillard montagnard enrichir nos lieux et les insérer dans un réseau artistique qui leur confère sens et identités inédits.
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